A l’issue du second tour des élections législatives, la CPME a alerté dans les médias quant à la perte de croissance générée par ce contexte instable et quant aux conséquences désastreuses de l’augmentation du SMIC à 1600€ nets, une des mesures phares du Nouveau Front populaire.

La CPME est engagée pour défendre les intérêts de nos entrepreneurs. Retrouvez ces différentes interventions dans les médias et ses actions :

Hier soir, dans le JT de 20h00 de France 2, François Asselin a tonné contre les effets désastreux d’une augmentation de 14% du SMIC, notamment sur des secteurs comme les services à la personne, qui subiraient des faillites.
A retrouver ici (et aller à 5mn48)

Il également a décrypté ce mécanisme à l’antenne du 19.45 sur M6 hier
A regarder ici (aller à 19h56)

François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), invité de franceinfo. (FRANCEINFO / RADIOFRANCE)

Au lendemain du second tour, François Asselin s’est exprimé sur France info sur l’avenir économique au lendemain des résultats des élections législatives. “Nous, entrepreneurs, avons besoin de stabilité, de lisibilité, de visibilitéOn se retrouve dans une situation démocratique où on a perdu les trois. En matière économique, on a besoin de cela pour investir, pour embaucher, pour recruter.” a-t-il expliqué.

 

 

Concernant l’augmentation du SMIC à 1600 euros net,  “cela va fragiliser notre économie”, a-t-il affirmé. En cas d’abrogation de la réforme des retraites, autre pilier du programme du NFP, il craint “une réaction immédiate” des marchés.

 

  • Dans Le Figaro, il a affirmé, à propos de la perte de croissance des entreprises : “La dissolution a fait perdre un trimestre de croissance à la France, du fait de la perte de confiance des consommateurs et des entrepreneurs dans l’économie.”

 

  • Eric Chevée a partagé son inquiétude sur la revalorisation du SMIC à 1 600 euros dans Le Parisien : “Il y a une très très grande inquiétude chez nos adhérents. Beaucoup ont des modèles économiques qui ne leur permettent pas de suivre financièrement.”, et a relayé l’inquiétude des chefs d’entreprise face à l’avenir économique du pays hier dans Les Echos.

 

Jean-Eudes du Mesnil est revenu sur : l’attentisme économique, la disparition des offres d’investissement et de recrutement, l’augmentation massive du SMIC et le test PME. Il a notamment estimé que l’augmentation du SMIC était “irréaliste au regard de la situation actuelle des finances publiques” :